Soutient les familles de personnes ayant une déficience
intellectuelle et défend leurs droits depuis 1997
En tant qu’organisme de défense des droits, nous jugeons primordial de vous informer sur vos droits. Connaître et comprendre vos droits est la première étape pour identifier un problème.
La déficience intellectuelle est complexe. À travers ses différentes facettes apparaissent divers enjeux pour vous, les familles. Quand votre enfant ou votre proche reçoit un premier diagnostic de retard de développement, vous faites face à un engagement de toute une vie. Nous vous proposons, dans cette section, l’analyse la plus exhaustive possible des grands enjeux actuels du milieu de la déficience intellectuelle au Québec et surtout sur l’île de Montréal.
Vos droits ne sont pas respectés? Vous vous sentez victimes d’une situation anormale? Vous trouverez dans cette section les clés et la procédure à suivre pour faire respecter vos droits.
Depuis 1997, PARDI s’engage à vos côtés et vous offre :
Notre ligne téléphonique est ouverte pour vous et notre équipe est à votre écoute. Elle vous offre soutien et conseil dans votre parcours de vie de parent ou de proche aidant.
Nous vous partageons une foule d’informations essentielles et une grande variété de ressources existantes dans le milieu de la déficience intellectuelle.
Nos membres sont tous des parents et des proches qui sont dans la même situation que vous. Nous vous proposons des espaces de discussion et des rencontres avec eux.
Dans notre milieu, rien ne se fait sans mobilisation. Nous nous battons pour vos droits et encourageons sans cesse nos membres à se mobiliser avec nous.
Des spécialistes vous informent sur les enjeux du milieu et vous orientent dans les questionnements quotidiens de votre vie.
Nos bulletins et nos outils numériques vous tiennent informés régulièrement des dernières nouvelles, réglementations, débats et enjeux du milieu. Restez connectés!
Je suis membre de PARDI depuis très longtemps. En tant que parent, la réalité n’est pas facile, depuis la naissance de Sacha, je me bats et chemine pour qu’il ait une place dans ce monde. Tant que je suis là, ce sera mon rôle. Ce n’est pas jojo ce que nous vivons actuellement. Dans ces années- là, il fallait bûcher pour trouver de l’aide.
02/06/2021Cela fait 2 ans que je suis membre de PARDI. Je suis devenue membre de PARDI car je voulais avoir accès à des conseils et soutien pour défendre les droits de mon frère. En tant qu’aidante naturelle d’un frère ayant une DI, je vois à ce qu’il a tout ce qu’il faut pour être bien. Depuis le décès de mes parents il y a environ 10 ans, je m’occupe de Carmine mais j’ai aussi ma propre famille. Je suis tout de même très impliquée pour m’assurer qu’il ait tout ce qu’il faut et il vient chez moi régulièrement.
02/06/2021J’ai commencé à l’Association de parents du Centre Gabrielle-Major, j’étais trésorière et ça pendant au moins deux décennies. Si je me suis impliquée c’était pour m’assurer d’avoir une place pour mon fils après sa fin d’école et c’est là que j’ai compris que j’étais à la bonne place pour manifester ce à quoi une personne handicapée a droit. Car après l’école débrouille toi, j’ai vite compris!
02/06/2021Je suis membre de PARDI depuis plus de 9 ans. Les années m’ont donc beaucoup épuisée physiquement et psychologiquement, PARDI est alors venu me prouver qu’il est un des « Anges-gardiens » qui m’ont fait sentir que je ne suis pas seule. C’est en fait pour tout cela que j’avais décidé de devenir membre et je ne suis pas du tout trompée dans ce choix. Merci pour tout ce que vous faites et bonne continuation.
02/06/2021Je suis maman d’une jeune femme de 47 ans. En région, nous n’avions aucun service. À mon arrivée à Montréal, j’ai rejoint un groupe de parents d’enfants handicapés. À sa dissolution, je suis devenue membre de PARDI il y a de ça au moins 15 ans! J’y ai trouvé un accueil chaleureux, du support, des ateliers d’informations, des conférences qui m’ont permis de me sentir moins seule et de prendre des décisions plus éclairées. C’est une belle équipe dévouée, dynamique.
02/06/2021Je suis devenu membre de l’association en 2010, je pense. Ce que j’ai vécu en tant que parent, c’est la solitude lorsque ma fille est devenue majeure, l’abandon de la part des autorités. En tant que père, je devais voir au bien-être d’une femme, ma fille. J’ai pensé qu’en rejoignant l’association, je pourrai en apprendre davantage sur les droits des personnes vivant avec une déficience intellectuelle et aussi d’avoir la chance d’échanger avec des parents qui vivent la même expérience que moi. Ça a été concluant pour moi.
02/06/2021« Vivre avec une déficience intellectuelle, ce n’est pas une maladie, c’est un état. Moi j’ai une déficience légère. Côté école, ça n’a pas été facile. Le soutien de ma famille m’a permis d’avoir confiance en moi et d’avoir une vie comme les autres et qui me ressemble. »
02/06/2021« J’ai une déficience intellectuelle légère. Ne regardez pas la différence, on n’est pas juste des handicapés. Nous avons les mêmes besoins que tout le monde mais il nous faut parfois plus d’accompagnement. Le problème ce n’est pas notre déficience, c’est le manque d’humanité, de compréhension et de regard sur la vie qui est pleine de gens différents, c’est ça qui est super. On est tous différents. »
02/06/2021« On a de la misère à se faire comprendre dans la vie, faire comprendre des choses au monde. Je me suis toujours sentie à part, même dans ma famille et même si je sais qu’ils m’aiment. Ça commence quand on est petit. J’aimais l’école mais on me traitait de ‘mongole’ et de grosse. C’est dur ce qu’on vit. »
02/06/2021« Même si on vit avec une déficience intellectuelle, on a des droits. Faut nous laisser notre place, autant que les gens réguliers. Si on se plante dans nos choix, on se plante, comme toute le monde. Ce qui me dérange le plus, c’est le jugement. Ne jamais dire aux gens qui ont une déficience intellectuelle qu’ils ne sont pas capables. Si on veut foncer, nous aussi on a le droit. »
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